•  J'DEPRIME PAS FORCEMENT MON BON SORT 

     

    J'ai tout pour être heureux, ils me disent

     

    et ils ont raison! Mais ?

     

    Piétiner les pensées de ?

     

     

    ces poètes du troisième retour, ceux qui vivent à l'ombre des

     

    tours ne connaissent pas ça. Ce matin, j'en ai vu un, un simple

     

    petit ouvrier, bah oui, monsieur français, il était Français mais un

     

    peu basané. Moi, ça m'a pas dérangé, d'ailleurs, j'avais honte de

     

    lui donner que mes deux derniers euros comme pourboire.

     

    R'heusement ma femme que t'appelles Bobonne, en avait trois

     

    de plus ? ON A DU CŒUR ? Je ne vais pas me la jouer gosse

     

    des quartiers, même si j'connais un peu Duchère, non, j'ai eu de

     

    la chance, j'ai eu une famille de bon-francé-moyen. Ouais, y'avait

     

    un peu de moyens chez moi et même si j'ai eu froid, ben tu vois

     

    mec, c'est le mec que t'as pas regardé qui t'a réparé ton

     

    chauffage, ouais, lui, le sauvage, ouaich, je lui ai serré la main

     

    comme un frère, il a compris, j'ai voulu faire ma frime à lui sortir

     

    un mot en arabe, il m'a fait comprendre, délicatement, lui, le pas

     

    de souche ? Celui qui t'fais l'plombier-moins-payé-qu'un-polak.

     

    Et toi ? Tu attaques ? Et toi t'es le saucisson obligatoire dans les

     

    cantines ? Tu la vois la peste ? Elle vient pas de lui, la peste…

     

    ON NE ME FERA PAS TAIRE !

     

     

     

    Marc

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    Marc

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  •  PIRATES

    Je voyageais avec des pirates, le vent en poupe. Notre navire sillonnait les mers du vague à l’âme, voltigeait son drapeau noir pour des îles aux chemins de traverses.

     

    Il y avait Saumon, le timonier, rouge d’embruns aux barres de différents destins. Buriné par le sel boucle d'oreille resplendissante sous le soleil,

    journal de bord délavé par les distances.

    Aussi Pince-Nez, crochu comme la tempête, survolant les flots de son regard à tribord et à bâbord de Dieu, toujours droit dans les yeux.

    D’autres encore que je ne citerai pas, compagnons de voyage, qu’ils soient d’ici ou de l’imaginaire, revenants de l’horizon, des histoires plein la caboche, le roulis des mots qu’on écume.

    Nous avions croisé au chant des sirènes, chassé en pays d’Atlantide,

    chevauché l’étalon... d’Amazone et joué notre vie sur le dos des baleines.

     

     

    Marc

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    Marc

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  •  VIRTUALITES CHIMERIQUES

     

    La poésie de ce siècle est un film porno, exhibition des sens par la bouche et les pores ; une éjaculation sans tabous...

    Ce qu'on appelle l'amour : des gros seins, une bite, du sperme, de la mouille.

    Des limites hors cadre conceptualisées comme arme-publicitaire-consommation-tout-âge.

    Bouffer du plaisir sans fin.

    Moins de garde-fous, et bien ?

    Fauteuil-clavier-écran-intégré entre une pétition et un échange social en réseau anodin.

    Façade qui tombe, la nuit venue ?

     

     

    Marc

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  •  BIENTOT NOEL

    L'espoir n'est jamais vain. Le désespoir ne vainc que par rapport à la valeur qu'on lui donne. Et ce système de valeurs, autant de l'espoir comme du désespoir est comme une marée. Les horoscopes ne nous auront pas.

     

    Par contre, la plus infime attention que l'on nous prodigue nous rappelle qu'une journée est une pochette-surprise comme, celle que l'on offre à l'innocence : et là ? les gamins peuvent encore sourire et nous donnent sourire devant ce futur sapin.

     

    Marc

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  •  VOUS QUI JUGEZ SANS SAVOIR

    Veuillez pardonner notre manque à l'étiquette...

    Vous nous devinez en dehors de nous, et, l'information

    Ruine vos maquettes trop bêtes

    Nous ? Sommes tout aussi cons...

    Et alors ?

    Dans nos âmes ?

    Une carte de l'île au trésor...

    Hommes ou femmes,

    Ce n'est pas loin, savez vous ?

    Je ne sais rien, me croiriez vous ?

    Chacun sans l'autre,

    Sans toi,

    Sans moi.

    Cent mois épuisent encore les autres

    Qui, avec leurs gueules d'apôtres

    Voudraient s'auto-bénir.

    Ce n'est pas loin, savez-vous.

    Je ne sais rien, me croiriez-vous.

     

     

    Marc

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  •  CURRICULUM VITAE

    Tu ne crois pas que je suis… parfois !

    J’éventaille des vents,

    Des couleurs qui ne me vont pas ;

    Un peu pour protéger…

    Un dernier rêve sans escale ; c’était un port,

    Accroché,

    Idéalisé,

    Sur un mur à bâbord,

    Un tableau éclairé.

    Balloté de visions étranges,

    Et ce mythe aux ailes d’archange :

    Au bon souvenir de l’Éden

    Avant que ne s’enlacent mes chaînes.

    Se noyer d’une toile et tisser la mer,

    Reflétant les yeux à des écumes précieuses,

    Fils du Soleil je recolle mes ailes.

    Orphelin d’une terre, exilé

    Aux antipodes d’une boussole qui ne peut plus retrouver,

    En transes violentes s’affole.

    Et le navire, abandonné,

    Toutes voiles outrances ;

    Mais aussi ?

     

     

    Marc

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  • NOS CRIS

    J'ai plus souvent envie de pleurer

    Que de gueuler

    Mais je gueule

    Et dégueule

    Ces mots

    Qui ne sont pas émaux

    Pas seulement les miens

    Beaucoup des tiens

    Parce-qu'on pleure en silences

    Et d'un cri on espère délivrances

     

    Marc

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    Marc

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    Marc

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    Marc...

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  • POSTE MORT T'AIME 

     

    Je suis

    Froid

    Déjà

    Et L’oubli

    Qui dit Éternité

    Qui y croit

    Ou le doit

    À part mon doigt

    Bien tendu

    Et vos mines trous du cul

    Il est tard maintenant

    Des espoirs

    Des mains tenant

    La poire

    Un silence

    Un arrêt

    Ce qui lance

    Après

     

    Marc

    04.08.2013

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  •  POIDS-CHICHE


    Plus de pensées
    Des mots alignés
    Inintelligibles
    Intangibles
    Les écoles sont fermées
    Pois-chiches de la crédulité
    Voire impossibles
    Quand certaines cibles
    Servent le pouvoir
    Comme des poux avoir
    L’intelligence au lavoir
    C’est ici que ça cancane
    Les vieux aigris à la canne
    C’est ici que l’on damne
    Son pion aux jeux de dames
    Plusieurs jeux ainsi les dames ci-dessus
    Travaillent l’amour déçu
    De dieux crénom
    En pauvres cons
    Un con
    Ça se pénètre
    De Madelons
    Qui font la quête
    Des églises brulées
    Ou sciences ignorées
    Le demi-poids-chiche
    Dont les cerveaux s’entichent
    Les révolutions ne seront plus
    Rebelles montrant leur cul
    À des seringues psychotiques
    Quelques polies tiques
    Parasites
    Web part à sites
    Avalanches d’informations plurielles
    On ne danse plus avec elles
    Chacun décervelé
    Yaourt et vaches à vêler

     

    Marc

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  • RUMEUR

    Si j'avais su cette lente descente aux enfers. Tu avais raison Cédric, ce sont de "petits feux", à peine perceptibles. Ce sont ces gens qui ont la patience des puissants. Ceux qui achètent parfois très cher une complicité anodine dont la langue de paille ne se rend jamais compte.

    Sans preuves, pour quelques mots que l'on dit inoffensifs.

    C'est la rumeur calculée.

    C'est plus jamais d'amis.

    C'est l'échiquier mental.

    Au même instant que moi le déluge.

    Ce sont à peine quelques gouttes de vin dans le verre d'eau.

    Quelque trouble.

     

    Marc

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  •  ET JE T'EMMERDE !!!

    Je voulais parler à Pandore,

     

    messieurs ! Non pas à

     

    ses sous-fifres espérant magnanimité

     

    de sa part.

     

     Je voulais, mesdames, avoir le courage que vous

     

    n'avez pas, de peur de tomber dans l'empathie et

     

    autres faiblesses que les bien-pensants vous

     

    auraient mises sous le nez.

     

     Je voulais enfin,

     

    mesdemoiselles, vous demander avec insistance de

     

    développer l'esprit

     

     

    critique et l'amour de l'autre. Pour vous, j'ai encore espoir, car

     

    vous êtes

     

    jeunes et pleines de curiosité.

     

    Je voulais vous dire, pour terminer sur mon propre cas, que j'ai

     

    toujours mis

     

    les autres avant moi et que ça ne se reproduira pas.

     

    ET JE T'EMMERDE !!!

     

     

     

    Marc

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    Marc et Christophe Martin (basse)

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  • LE SILENCE DES FOUS

     

    L'intelligence, c'est parfois se taire

    Et laisser faire.

    Laisser l'ire

    Baver contre nous et, tout écrire.

    Ecrire encore, des mots esthètes

    Alors qu'ils croient que tu baisses la tête.

     

    Un combat journalier :

    Un combat qui garde dignité :

    Cette dignité qui garde silence...

     

    Marc

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  • FOURMI EST FEMININ COMME MASCULIN
     

     

     

     

    Depuis quelques temps,

     

     

    Je l'appelle Ma Fourmi,

     

     

    Sur mon blog est tout le temps

     

     

    Même de nuit.

     

     

     

    Nous dirons que Ma Fourmi

     

     

    Beaucoup, lit

     

     

    Ma modeste poésie.

     

     

     

    Je l'aime bien Ma Fourmi :

     

     

     

    Elle s'intéresse à moi,

     

     

    Tout petit...

     

     

    Peut-être qu'elle croit ce que j'écris !!!

     

     

    Ne pars pas petite Fourmi !

     

     

    Lis quand je suis au lit,

     

     

    Le matin est moins gris...

     

     

     

    Marc

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  •  CONTOURNEMENT DE CITATIONS

     

    J'aboie et la caravane passe,

    Mais où va-t-elle ?

    Je ménage la chèvre et le chou,

    C'est pour mieux les manger ?

    Je ne sais pas si c'est du lard

    Ou du cochon ?

    Il ne faut pas en faire un plat...

     

    Marc

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    Marc

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  • JE/NOUS/IL/ON 

     

    D'un mouvement gauche droite ininterrompu, il frottait sa lèvre inférieure. La bouche sèche et douloureuse d'avoir trop parlé. Depuis quelques années, il passait son passé en revue. Il se dirigea vers le sac de médicaments. Ca ne servait à rien. Ca ne relevait pas de ça. Ca révélait une question et ses différents possibles. Pas de réponse. Peu de choses éclaircies. Voire aucune.

    Vingt ans que ça dure. Ca tournicote dans ma tête. Mise à La Question, miser la réponse et l'espoir chez quelque psy.

    Des bribes d'histoire avec ou sans "S." Des pans de peurs inconsidérées, des pans de vie en mémoire-flash.

    Aujourd'hui, une seule question : est-ce qu'on rate sa vie ? Que l'on soit marié, bien rangé ou fou institutionnalisé ?

    Cheminer, chercher, se perdre jusqu'au prochain panneau.

    La musique s'est arrêtée et je connais la chanson.

    Qui es-tu pour mépriser ?

    Nous ?

    Faire semblant de ne rien remarquer :

    LA DIGNITE DU SILENCE.

    Qui es-tu avec tes mots faussés, ton hypocrisie-crasse et la morve de ta glotte, venin que tu dégueules dans le dos de "Nous."

    J'aurais eu un empire, tu m'aurais flatté à la limite de sucer.

    Tu veux briller et profiter.

    Vois-tu ? Je n'ai qu'un kaléidoscope. Pas de fortune, encore moins de renommée, rien qui puisse t'intéresser. Juste un pauvre kaléidoscope d'une journée en enfance. Ce long temps où l'on croit à l'éternité.

    Longtemps après, le jeu sournois de l'esprit au bord de tout laisser tomber.

    Laisser tomber... pas suicidé.

    Code-marqué sans accord.

    Leur façon de faire ?

    C'est la nuit en plein jour.

     

    Marc

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  • GRANDES SURFACES 


    En une vision carrefour,
    Au chant de fleurs, illusion née,
    Le printemps ! Le clair printemps encoloré.
    Un bébé mammouth douceur velours,
    Et des oiseaux champions de l’horizon.
    Dans certaines galeries
    La faille y était sanglante.
    Ici, on faisait bon marché d’âneries,
    En inter-marche édifiante.
    Vous pouvez donner l’aumône au prix d’un rêve,
    Emprise unique de vos cartels,
    En kimono primitif je crève,
    L’envie de vous faire mordre la poussière...

     

    Marc

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  • Un morceau de lui qui t'échappe,
    Une sorte de chambre en chape.
    Tu restes enfermée,
    Seule avec tes bouquins,
    Qui ne t'en disent pas plus ;
    Seule avec tes laps et tes us.
    Tu as oublié,
    Comme un reste de mémoire
    Qui court devant...

     

    Marc

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  • Elle fera le ménage

    Dans ma cage à neurones

    Son âge

    Celui qu’elle aura

    Dans mon cœur de p’tit bonhomme

    Puisque la vie inventera

    Comme autour d’elle un atome

    Et qui vivra Verra

     

    La prochaine sera la bonne

    Elle bouquin'ra

    Entre deux coups de téléphone

    Elle m'aimera

    Je l'aimerais

    Si au moins

    Notre vie s'inventait

    Au p'tit bar du coin

     

    Mais je suis vieux

    Et je l'attends toujours

    Je suis de ceux

    Qui lisent à l'abat-jour

    C’est quand tu veux

    Qu'on se voit tous les jours

    Je prie les cieux

    Pour qu'elle me mette à jour

     

    Marc

    2008

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  • PREMIERE GUITARE

     

    Il fut un temps, j'étais une sorte de fou du village… vous savez, mon brave, veuillez me passer l'expression, non pas ?
    Ils peuvent cliquer jusque devant ma porte et raconter leurs plus belles anecdotes sur-mon-divan-sous-mon-nez. Ils sont la main à charrue du Sieur Rimbaud : les livres perdent leur temps à essayer leurs plumes pour faire rêver une poignée de gorets aux gargarismes de La Haute.
    Pardonnez m'sieurs/dames ! J'écris de l'exclusion. Du manque d'avenir. D'un trop plein de passés ; je suis passé sous le symbole…
    Je pardonne les duchesses, puisqu'elles sont montées sur leurs grands chevaux quand il fallut me rendre ma première guitare.
    Depuis ? J'espère que cette première guitare chante encore. Qu'elle ne soit pas cassée ou, oubliée dans un coin, un jour de canard…
    OUI ! Jouez de ma guitare et faites rêver. Ressentir les notes qui habillent le temps et cessez les charlataneries au verbe du client. L'habit, même…

    on-ne-sait-plus-qui-sont-bonnes-sœurs-ou--moines-mon-brave- monsieur !

     

    Marc

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  • AVERTISSEMENT ET LIEN :

    Je vous présente un texte que j'ai écrit dans le cadre de l'atelier d'écriture en ligne de François Bon (Tiers Livre). Je vous communique le lien, si l'aventure vous tente ou si vous êtes tout simplement curieux : http://www.tierslivre.net/spip/spip.php?article4342

     

     

    La langue trahie, l'esprit fractionné, ce que certains appellent dédoublement.

     

    Le désarroi à expliquer, à rendre compte et à se rendre compte. L'impression

     

    si pesante, qu'elle en devient réalité vécue jusque dans le corps, jusque dans

     

    l'intimité du système nerveux central. Chercher le mot juste, celui qui pourrait

     

    sauver, rendre volonté. Ce mot trouvé pour se retrouver sans cette

     

    perpétuelle tension corps-esprit/esprit-corps. Stations du chemin de croix

     

    psychiatrique, cerveau sous contrôle neuroleptique et social. La tête

     

    résonnant le mot souffrir…

     

     

    Marc

     

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  • C'EST ETONNANT CETTE IMPRESSION DE DEJA-VU.

    VOUS ME RECONNAISSEZ ???

     

    Marc

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  •  

    ON EN CREVE


    Si tu savais commençaient-ils : « Aux tendres rayons

    de Lune, J’ai accroché ton île. »

    Exilés à la Une,

    Alors que les enfants mangent des peintures au plomb

    Dans les squats du saturnisme.

    Essayez de garder l’aplomb,

    Décrocher des guirlandes de schismes

    D’une autre façon,

    Jamais.

    Mais :

    De contre-façon.

     

    Marc

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