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De jour comme de nuit, je veille. Ca ne sert strictement à rien. Durant longtemps j'ai milité pour la réhabilitation de l'inutilité, jusqu'à ?Le contenu de ce blog est protégé sous licence "Creative Commons"
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Par premier réveillé le 4 Août 2014 à 02:24
Les veines du monde,
Saignées.
Cause ?
Boulevards à venues.
Reste mon frère-de-je-ne-sais-quel-endroit,
Est-il parti ?
Des musiques d'apocalypses diverses nous seront détrônées.
Que bientôt nous ne sachions ?
Casques en mode F.M. pour jouer du cataclysme.
Faire l'expérience de la vie.
Marc
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Par premier réveillé le 6 Août 2014 à 06:05
Refermé derrière eux.
Reculer, impossible.
Avancer l'impossible.
Encore avant c'est
Malgré sorciers et horoscopes qu'ils boivent,
Matineux, cafetière...
Quand les cris en dessous de la musique
Aimeraient la faire taire.
Un chien aboie.
Le chameau passe le chas.
Un jeu sans but.
Effleurer la vie comme,
Imprécise.
Marc
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Par premier réveillé le 7 Août 2014 à 19:45
(Chanson)
Excusez-moi
De m'excuser de vivre
Pardonnez-moi
Ce soir je suis ivre
Comme un jouet cassé
Des larmes maladroites
Comme si j'avais cessé
De me battre
Excusez-moi
De m'excuser de vivre
Pardonnez-moi
Pour mes yeux de givre
Et comme le silence
Me souffle ces paroles
C'est mon existence
Qui soudain s'envole
J'vais pas m'suicider
J'suis déjà un fantôme
J'ai déjà beaucoup parlé
Me faites pas l'aumône
J'vais pas m'suicider
J'suis déjà un fantôme
J'ai déjà beaucoup chanté
Excusez-moi
De m'excuser de vivre
Pardonnez-moi
Je ne fais que survivre
Comme ces nuits passées
A décompter l'bonheur
Comme ces jours d'été
Où je n'suis pas à l'heure
Excusez-moi
De m'excuser de vivre
Pardonnez-moi
J'ai bien fini mon livre
Maintenant le silence
Me donne le premier rôle
C'est une évidence
Et ce n'est pas si drôle
J'vais pas m'suicider
J'suis déjà un fantôme
J'ai déjà beaucoup parlé
Me faites pas l'aumône
J'vais pas m'suicider
J'suis déjà un fantôme
J'ai déjà beaucoup chanté
Marc
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Par premier réveillé le 14 Août 2014 à 03:01
Je veux brûler
Les tiens
Ou
Les miens
Brûler les planches avec toi
Qu'on partage
Sans eaux parfois
Jusqu'à langue sèche
Jusqu'au désert
De ne plus parler
Qu'à soi même
De vider le néant
Quand on se souviens
D'une pensée magique
Celle qui porte
Emporte
Bien loin
Tout ça...
Marc
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Par premier réveillé le 14 Août 2014 à 22:52
Enfouis certains
Pour les plus chanceux
Si
Bien sûr
Egaux devant la mort
J'ai ce sang qui circule
Qui me révolte de vie
Celle à laquelle on ne fait attention
Qu'un instant distraction
Vers 20h
Au moment du dîner
Marc
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Ce texte a été écrit bien avant la publication de cette photo. Mais, nous savions...
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Par premier réveillé le 15 Août 2014 à 23:53
Voitures-vacances et ciel mitigé.
Ils partent, on reste.
Quelque débile tire de gloussonnants gargarismes,
Pas pour moi.
J'avais oublié :
"Tu n'es pas fou, tu es juste malheureux"
Merci Heptanes...
Va falloir que je me décolle
Quelques étiquettes et décorations.
Je succule un café-clope,
Pas de renvoi d'estomac
Ni de gorge.
Une voix sort du poste radio,
Cantatrice dans la chambre.
Ca défile depuis le bal-camping-14-juillet,
Boutonneuses et starlettes sur le retour.
Nous, on ne part pas.
Marc
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Par premier réveillé le 17 Août 2014 à 21:16
Pourtant, ce n'est pas de toi que vient l'image première. La peur, qui, paradoxalement, donne envie des années après. C'est une simple concordance de caractère qui te lie à la première. Celle qui a évoqué ce système est bien loin dans mon passé. J'ai juste déplacé l'objet.
Marc
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Par premier réveillé le 31 Août 2014 à 20:51
Tu vois le temps ?
Perdu
Jamais gagnant
Entendu
Bruit de couloir
Ou secret d'alcôve
Ce que l'on peut voir
Même sans être chauve
Les façons de l'âge
Depuis la barge
Electro stable
Fond de rage
Rides ravages
Et l'on m'appelle à table
Marc
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Par premier réveillé le 3 Septembre 2014 à 10:09
Au matin réveillé
A moitié
J'ai pleuré
J'ai laissé
Couler
De douces larmes salées
De celles qui font l'humanité
Quand elle voit la beauté de sa vérité.
Marc
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Par premier réveillé le 13 Septembre 2014 à 04:26
Depuis combien de temps ? Plus de vingt ans.
Vous
parlez pourtant. L’entendement. De toutes façons ils écoutent.
Vous les sentez. On ne les voit pas. Ils nous surveillent. Personne ne croira. J’ai beaucoup
parlé de ce futur en déformations. Un diplôme virtuel. Un métier sans travail.
Vous
saisissez la nuance.
Cendres. Cigarette sur. Oubli d’éternité. Corps travaillé. Interdictions.
Dico. Dite commune. Revenez. Talons hauts. Attractions/Répulsions. Pulsation des pulsions. Emballé
coeur. En bas les choeurs. Rient de rien. Prie-je-te.
Piège. Chausses. Trappes. Bière. Vin.
Vers. Bien. Espère. Reviens. Bac à fée.
Parafée. Para fait. Coin. Bar. Petit. Je sais.
Rigole en règle.
Orgueils. Touché. Mille mérites. Pan ! Pan ! CulCul.
Marc
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Par premier réveillé le 13 Septembre 2014 à 12:47
Je ne peux être un autre
Que moi
Parfois
J'envie leurs vies
Ils sont bien mis
Il sont à l'aise
Faut que j-me taise
Quand j'arrive
Changent de rive
Sans y toucher
Gênés
Dans leurs coins bien gérés
Toutes mes amitiés...
Marc
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Par premier réveillé le 13 Septembre 2014 à 15:08
J'écoute les bruits
Dehors
Je suis
En dehors
Du dehors
En dedans
Du dedans
En dents
De ci...
Marc
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Par premier réveillé le 16 Septembre 2014 à 23:40
(Chanson)
On a pas d'excuses
Même si faut r'commencer
Faut pas qu'on s'accuse
De vouloir s'amuser
Sourire à ce monde trop vieux
Et lui dire
Hey man ! looks around
Mets toi pas bille en tête
La musique est en fête
Ecrire jusqu'au fond des cieux
Du soleil et du bleu
Y'a rien d'plus simple
Mais tout n'est pas si simple
C'est ma voisine de palier qui le dit
Comme ce matin c'est mercredi
On va jouer comme quand on était gosses
On ira p'têt' même en Ecosse
C'est une histoire de négoce
Et on vivra comme des Négus
Le soleil c'est dans la tête
Et la musique est en fête
Ecrire jusqu'au fond des cieux
Du soleil et du bleu
Y'a rien d'plus simple
Mais tout n'est pas si simple
On a pas d'excuses
De vouloir reculer
Le bonheur à venir
Faudra bien le finir
Et si jamais j'accuse
Cette pluie de tomber
Reprenez-mes excuses
Demain ce s'ra l'été...
On a pas d'excuses même si faut r'commencer (Ad lib)
Marc
Deuxième moitié des 90's
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Par premier réveillé le 26 Septembre 2014 à 11:55
– Rivière qui roule amasse mousse.
– J’aimerais chanter pour ne rien dire.
– La cigale ayant chanté tout l’été.
– Je vous reconnais.
L’hiver est proche et fine mouche de fourmi entasse les brioches dans son aimable appentis. La cigale, par l’odeur alléchée lui tint à peu près ce langage :
– J’aimerais chanter pour ne rien dire.
Une affable présence des petits fabliaux…
– Dame cigale voudrait chanter pour ne rien dire ?
– Qu’avez vous donc oublié ? C’est pour vous que je chantais…
Marc
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Par premier réveillé le 1 Octobre 2014 à 08:10
Je veux oublier vos mauvaises consciences ainsi que la mienne, celles dont on se rend compte plus tard. Le mal est fait et, mon mal n’est pas sans effets et gesticulations stériles.
Petit matin, énervé, weekend, la fin d’un cycle ? Pourquoi ? Pour le meilleur et pour les pires quand je pense à vous.
Complexe de Peter Pan ; syndrome raccourci en essayant d’expliquer ce que tu ne comprends pas. Rien de plus horrible que de perdre cette fantaisie de l’enfance que vous avez passée aux oubliettes : vous m’en accusiez s’ils n’ont pas la mémoire courte !
Endurés les sarcasmes, les parodies de sauvetages pour lesquels vous étiez payés.
Paranoïaque ascendant lucide.
Ça fait tache sur votre contrat.
Fou, j’écris comme ça vient tout en téléportant bien loin le style, la syntaxe et autres procédés compliqués.
Ici, personne ne peut nous accompagner, je suis seul et eux aussi.
Tu fais semblant d’occuper le temps et ils sont plein de pépins attribués à la pluie : des gouttes dans les yeux ?
Non ! Je dors ?
Je dors d’un sommeil de larmes.
Je dore d’un Soleil disparu.
Ils nous ont volé la Lune, pourquoi n’éteindriez-vous pas le Soleil ?
Marc
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Par premier réveillé le 11 Octobre 2014 à 15:50
METIER
Son vrai boulot ? Il n’en parlait pas. Il travaillait dans l’ombre, sans même savoir le pourquoi du comment. Il obéissait aux ordres et c’est tout. Dans ce métier, mieux valait ne pas se prendre la tête, à moins de la perdre. Je parle bien de la tête : Bobo à la tête, hôpital ! Avec un grand point d’exclamation pour que passent les hélicos.
Attention Hôpital !
Retards qui analysent des numéros. De la flicaille que ces assommoirs sociaux ! La télévision et les cris de la rue, six rues de retards, faut aller au boulot. Putain il pleut cette nuit. Comme les horoscopes, on déciderait pour lui. Il était le dernier dupe du lot mais… piégé dans un métier à tisser jour après jour.
Long moment sous le réveilleur, ça lui fait du bien avant de passer la porte du Centre de Recherche Neuro-Musicale.
Méthode numéro 11, exercices cloneurs de patience ; La notion de temps-ci-jointe. Immatérielle-sculpture, musique.
Marc
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Par premier réveillé le 17 Octobre 2014 à 07:44
Les lumières de nos nuits fleurissent les jours éteints
Agrippent à la Lune des voies lactées sans fin
D'étoiles les danses au fond d'un ciel d'étain
Veillent les somnambules et les crèves la faim
Des villes et des villages sous la voûte de pourpre
Alors que les navires toutes voiles en poupe
Mugissent sous des phares aux lueurs empourpres
Marc
21 octobre 1997
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Par premier réveillé le 23 Octobre 2014 à 15:13
On reste dans le silence intérieur
Malgré la musique extérieure
On sait
Oui, long sait...
Vaut mieux en rigoler
On ne peut plus
Force déconvenue
De ces gens convenus
On joue de visage
Regards des faux présages
De la rumeur quantique
On invente un laïc cantique
Puis on pleure
Puis on oublie
Marc
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Par premier réveillé le 24 Octobre 2014 à 19:10
SILENCIEUSEMENT
Que tout se mette
En branle
Bas
De courbettes
Vends le
Et tais toi
Lui
L’esclave
Pour un Louis
Avale la lave
Fusion
Des atomes
Confusion
Des hommes
Marc
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Par premier réveillé le 2 Novembre 2014 à 17:40
C'était un appel au secours
Tu n'as pas répondu
C'est vrai que par les temps qui courent
On ne pense qu'à son cul
C'était pour te dire
Des choses toutes simples
Comme manque d'avenir
Pour les gens simples
Tu es à l'aise
Entre deux chaises
Au cabinet tu prends tes aises
C'était pour t'écrire
Qu'un jour on va mourir
Qu'on ne pourra plus rien dire
Marc
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Par premier réveillé le 7 Novembre 2014 à 01:17
La clef de voûte et les murs effondrés laissent l’édifice à ciel ouvert. Des portes sans serrures, qui s’ouvrent et se referment, claquent à la taille des pierres et grincent des dents sur leurs gonds.
De l’ancien salon où l’on veillait, la cheminée, des chaises fracassées et porcelaine brisée. Quelques goulots de bouteilles, souvenirs et défuntes fêtes, un vieux couteau rouillé qui a oublié les chaudes saveurs du pain tout juste sorti du four.
Au loin, le vent fait chanter la cloche du village abandonné, lui aussi. Le sacristain ne tire plus la corde au cou de ses brebis. On vient là, pique-niquer en famille du dimanche et l’on raconte aux enfants qu’il y a un trésor dans l’une ou l’autre de ces maisons.
Alors, ils cherchent et reviennent pour goûter, les mains pleines de vieilles bibles rongées de poussière, une pièce de cuivre ou un calendrier.
Les vieux se souviennent. Il y a un fantôme. Ils l’ont vu, surpris par La Nuit, tirant un âne autour de l’église, sans jamais y rentrer.
Les gens sont partis.
Marc
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Par premier réveillé le 10 Novembre 2014 à 15:43
Il y a des statues dans les musées parkings
Les arts sont banques de données
Parqués entre deux pornos strings
Et quelque statut à créer
D'écran à écran
Le papier n'est plus que conception immaculée
Qui, laissant
Les stylos rouiller
Marc
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Par premier réveillé le 14 Novembre 2014 à 04:32
Cette génération veut rester
Sereine et bien sûr en dehors de ça
Le culte de l’habit qui fait le moine
Sans sourciller
Accueille les nouveaux philosophes et dresse aux jeux de guerre
Une armée de mouches à merde
Le siècle de la jeune science est passé
Dans des hôpitaux pavés de bonnes intentions
C’était le temps moderne où l’on inventait
Des lèpres prophylactiques
Où des peuples entiers façonnaient des idoles chimiques
Et
Commençaient à dresser les nouveaux bûchers
Des églises de clones et des hordes hybrides
Dans des palais publicitaires.
Marc
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Par premier réveillé le 18 Novembre 2014 à 05:24
Quand on entendra le dernier accord,
Seconde ultime de l’arrière saison,
Ce sera une fulgurante fontaine
D’où jailliront des corps comme des arc-en-cieux.
Quand ils auront effleuré toutes les douceurs,
Fleuris d’indéfinissables douleurs ;
Effeuillée leur vie, peut-être,
Aux quatre coins de la planète.
Terrains minés à la morale des dieux,
Vague des idoles, des marchands de rêve.
Le Petit Charmant de Vers,
Grouillant de vermines atomiques,
Marcheur de serpent et sauteur à la corde.
Homme à la vie binaire,
Humains aux yeux ternaires,
Transposent leurs désirs télévisés,
Pour essayer.
Obscur univers d’où un soleil implose,
La modulation de fréquence ne répond plus,
Les murs saignent leurs blafardes ecchymoses et,
S’écroulent, anges déchus.
Qui sont ces dieux qui nous rongent les sens ?
Chaque nerf marqué au fer de l’intelligence,
Rouge ! Écarlate !
Parfois fluide ou bien de glace.
Résonnez humaines percussions,
Peaux sèches et tendues d’infinies variations.
Sonnez ! Célestes Trompettes,
Mais,
Pitié,
Penchez vos pavillons aux salives abjectes
Et de ce monde imaginez…
Quand on entendra le dernier accord,
Instant sublime de la levée des corps,
J’aimerais vous dire :
Encore…
Marc
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Par premier réveillé le 21 Novembre 2014 à 16:53
Entends-tu ta voix quandTu te parles à toi même
Quand ce silence méchant
Ne sait plus lui-même
Et pourquoi donc
Est doux ?
quoi donc ?
Des questionsDes échantillons
Musiques électroniques
Vibrations
De temps en temps classiques
Interrogations ?
Marc
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Par premier réveillé le 25 Novembre 2014 à 21:28
Sinueuse et légère
Goutte transparente
Insolite et si sphère
Aux sources apparentes
Et je coule humide
Absorbée par mes mousses
En failles intrépides
Mystérieuse secousse
Univers pulsionnel
En une perle cristal
Je suis émotionnelle
Je remets ma…
Marc
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Par premier réveillé le 27 Novembre 2014 à 21:23
Libère le clone,
Le mal aux dents,
Ces dents jaunes,
Des dents de hareng.
Métaphysique cantique,
Des moines douloureux versent la myrrhe sur le clone,
Ce que la bête est à l’aumône,
Petit être sans âme inventa un cantique :
Après le dieu des hommes viendra le règne de l’homme,
Et puis,
Le règne de qui ?
Marc
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Par premier réveillé le 28 Novembre 2014 à 17:08
C’est au Val-de-Grâce,
Quelle bonne grass,
Une virtualité
Au sein de l’armée.
Tous ceux qui ne savent pas marcher
Seront enrôlés dans les milices de quartier ;
Au pas
De la porte.
O' Pa,
Qui misait sur les virus O.P.A.,
Se redonnait des airs,
À longueur d’européens opéras.
Soldats sans le savoir
De la troisième guerre mentale,
Bombe à retardement et, va le croire
Il te faudra voir :
Des cerveaux virtuels
Chaque fois ré-implantés,
Des télépathies nouvelles…
Marc
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