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BLUES 2
Blues-man signe de son sang et revient à
la solarité rituelle
Il porte le feu.
Il détruit comme il console.
Il habite à la croisée des chemins.
Il s'observe, il n'a pas dormi depuis plus de 48 heures...
Je te prierai d’arrêter les commérages débiles avec ta mère à la
caisse de Nocasi.
Un bronze, il faut faire gaffe, c'est analysé,
Chaque chiotte et des détecteurs de fumée.
J'ai pas installé ce mouchard à cigarettes
Et l'appart prend feu,
Je ne serai pas assuré… d'être mort.
Faut cotiser,
Faut cautériser,
Faut suturer.
Les dieux changés échangistes :
Ils sont multitudes.
Soupe-religion des solitudes.
Abrutis par les écrans qui débitent conneries à longueur de
journées.
Vie qui attend la mort pour voir comment et ce que ça fait.
La vie s’écoule.
Me jette pas le premier mollard de ta bouche mal éduquée.
Regarde en toi,
Crache en l’air,
Prends le dans l’œil et la poutre disparaîtra.
Marc
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Commentaires
1Prigent GhislaineSamedi 14 Novembre 2015 à 19:46
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L'axe, la pierre de touche de ce poème.