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Ils savent qu’ils sont piégés, mais ils continuent, ils ne peuvent
faire autrement. Ça leur fait du bien de faire tomber les autres, ils
n’ont plus de cœur, plus d’espoir, plus de libre arbitre, alors ?
Alors, ils ont la haine tenace contre tous ceux qu’ils n’arrivent pas
à faire chuter.
Quand ils y arrivent, c’est pour mieux recommencer avec un
autre
Ils ont mal tout au fond
La bêtise est insatiable…
Marc
http://creativecommons.org/licenses/by-nc/4.0/
A Shaomi pour notre virtuelle amitié
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Je suis une solitude accompagnée
Nuits et journées dans l’appart' enfermé
De mon plein gré
Vous comprenez ?
Quand je sors et même pas la peine
Je l’entends ce cri sourd
Plus beaucoup à parler d’amour
Les gens et leur cour
Maquillages et façades des atours
Quand je sors la vie en peine…
Marc
http://creativecommons.org/licenses/by-nc/4.0/
2 commentaires -
Les multimédias sont invariablement de tristes comédies. Ils fonctionnent comme une espèce de thérapie de groupe pittoresque, un accouplement morose d'acteurs et de spectateurs, une semi-masturbation mutuelle. Les acteurs semblent avoir besoin de leur public et les spectateurs trouveraient ces mêmes vagues titillements dans une exhibition de monstres ou une fête foraine et de plus raffinés et complets divertissements dans un bordel mexicain.
Jim Morrison (Seigneurs et Nouvelles Créatures)
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Jeune de la rue
Toi qu'ils appellent bougnoul
Et moi qu'on dit maboule
A part dans l'Rap
Y'a pas beaucoup d'poèmes
Qui parlent de toi
Alors j'te balance ce thème
Pour te r'mercier encore une fois
D'avoir dit que ça s'faisait pas
De m'insulter comme ça
A cette enfant gâtée
Comme jamais tu n'l'as été
Merci à toi
L'jeune des quartiers
J'aurais jamais osé
Marc
http://creativecommons.org/licenses/by-nc/4.0/
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