•  UN BLUES POUR TOI

    Et si je chantais

    Un peu comme autrefois

    Où les rires emmêlaient

    Ma foi

     

    Quand je signai

    Mon âme en épitaphe

    Le diable déjà moquait

    Mes futurs paragraphes

     

    Seul à en crever

    Les couloirs du métro

    Dégueulent les bouches bien nées

    Je dois être de trop

     

    Et si je pouvais

    Chanter comme d'autres fois

    Tu danserais

    Peut-être un peu pour moi

     

    Ces rires

    Ces larmes

    Sans avenir

    Et sans armes

    Ces nuits d'ivresses

    Je te les laisse

    Si je me perds

    Je voudrais que l'on m'enterre

    Dans un jardin

     

     

    Marc

     

    25.01.2005

    http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/

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  • Certains...

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  •  

     

     

    Retrouvez la nature.

    L’ogre et la sorcière à sous-marin japonais,

    C’est notre plus belle aventure,

    Je passe...

    Faire découvrir le monde à la beauté

    Est entendu.

    On montre ses orteils

    Pour tordre le cou aux s.o.s.

    Prendre soin de qui illumine ;

    J’agrandis.

    Et vous, où en êtes vous ?

     

     

    Marc

    http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/

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  •  

    Il y a un gosse sur la chaise

    Café crasseux de Ménilmontant

    Un travesti obèse

    Et des vieux qui passent le temps

    Il y a un gosse sur la chaise

    Naïf de leur monde

    Et sa grand-mère absente

    Les yeux emplis d’immonde

    Il y a un gosse sur la chaise

    Mais avant qu’elle ne craque

    Il sera parti

     

    Marc

    http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/

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  •  


    Je m’étais pris à rêver aux sourires des potirons,
    Allongé, toi à côté, chacun cherchant…
    De coups de tel, et visions aux courants affluents de rivières.
    Et dans les chemins sauvages nous écoutions nos coeurs,
    Loin des périphériques aux portes de vingt scènes où,
    L’un de nous avait vu des albatros ;
    Un autre encore, à sept ans, avait rêvé pour l’hiver…
    Mais encore cet autre aux yeux sanguinolents,
    Et toujours les remaquiller d’azur.
    Poète appréhende quais et gares sans rivages,
    Morcelant son âme holographique.
    La Lune ne dort pas,
    Comme La Nuit est tombée,
    Qu’elle nous chuchote au fond du coeur
    Des rêves perdus au milieu d’un dése
    rt

     

    Marc

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  • Il fait sa route,

    Un instant, il s’arrête ;

    De nulle part sans doute,

    Funambule coupe le dernier fil

    D’ une vie de marionnette.

    On le disait d’ ailleurs,

    Il y est arrivé.

    Salut à bon entendeur,

    De vos langues inutiles,

    Des mots évadés.

     

    Marc

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